Vendredi, le 20 janvier dernier, Donald Thrump a prêté serment et nous avons pu lire les lignes suivantes dans la Presse :

« Je jure solennellement de remplir fidèlement les fonctions de président des États-Unis, et, dans toute la mesure de mes moyens, de sauvegarder, protéger et défendre la Constitution des États-Unis » : l’homme d’affaires prêtera serment, comme l’ont fait avant lui George Washington, Franklin D. Roosevelt ou encore John F. Kennedy. M. Trump a choisi pour ce faire deux bibles : la sienne, qui lui a été offerte par sa mère en 1955, et celle d’Abraham Lincoln, sauveur de l’Union, également utilisée par Barack Obama il y a quatre ans.

Qui croit encore de telles promesses aujourd’hui, après tous les scandales dont nous sommes témoins dans les médias? Qui croire, à qui faire confiance ? Une chose que l’on peut constater, c’est que, peu importe la personne qui prête serment, c’est sur la Bible qu’on le fait. Pourquoi pas sur la constitution ou sur le code criminel ?

Parce que le seul livre dans lequel nous puissions placer toute notre confiance, c’est la Bible. C’est aussi dans la Bible que Dieu nous demande d’être honnêtes, de ne pas mentir, ne pas voler, …

La Bible sur laquelle Donald Thrump a prêté serment, est justement le livre dans lequel il nous est dit que le nouveau président sera incapable de respecter intégralement ce qu’il promet, et que nous serons, à quelque part déçus par celui-ci.

Abraham Lincoln a un jour dit : « Si tu cherches le mal dans une personne, tu es certain de le trouver … » Tous sont pécheurs, tous vont faillir et tous vont décevoir, mais Dieu, Lui, accorde le pardon et la grâce dont nous avons besoin.

Notre Bible, utilisons-là, non pour promettre de respecter un serment, mais pour y trouver la grâce de Dieu dont nous avons tous besoin.